Henri-Jean Garchon, responsable principal
Guillaume Sapriel, co-responsable. Maîtrise des outils de bureautique classiques, aucun prérequis en programmation informatique. Gaelle Lelandais (PU UPSay), Fabrice Confalonieri (PU UPSay), conférenciers spécialistes du domaine.
Les projets actuels visent la dissection des mécanismes moléculaires et cellulaires mis en jeu dans les processus de production de la myéline au cours du développement ou à l’issue d’une démyélinisation du système nerveux central. Il s’agit des voies induites respectivement par les protéines secrétées Hedgehog et par les hormones stéroïdes de type androgénique (testostérone). Le projet repose sur la manipulation génétique et pharmacologique de ces voies au cours du développement et dans différents modèles murins de démyélinisation.
Les séances (3 h 00) se déroulent en salle informatique, avec une alternance de phases de cours et de phases pratiques de mise en application. Des évaluations des acquis de compétences sont proposées régulièrement aux étudiants sous la forme de questionnaires sur Internet. Le travail en groupe est encouragé lors des mises en applications pratiques. Un forum est mis à la disposition des étudiants, pour favoriser les discussions et le partage d’informations en dehors de la classe.
Les rappels sur les notions de base en microbiologie sont dispensés sous la forme de cours magistraux en début d’UE. Les enseignements dirigés sont organisés majoritairement sous la forme de travaux d’analyse de documents par les étudiants, en groupe ou isolément, avec parfois une restitution orale. Par groupe de 3 ou 4, les étudiants préparent également une revue de la littérature sur une combinaison pathogène/molécule thérapeutique (la question est tirée au sort) qu’ils présentent oralement à la fin de l’UE.
ANOVA
Corrélation / régression
Introduction à l’épidémiologie (faux / Vrais positifs / négatifs , Sensibilité, spécificité et valeur prédictive positive, odds ratio). Articles de revue scientifiques récents expliquant les fondamentaux et les avancées scientifiques de la régulation de l’expression génique par les ARNs non codants. L’autre semaine est consacrée aux cours et à des analyses d’articles effectuées par les étudiants.
Cet enseignement est essentiellement composé de TP où nous étudions en I. Les grands types d’interactions (mutualisme, commensalisme, phorésie, inquilinisme, top steroide online parasitisme) en II. Nous montrons l’omniprésence et la diversité des parasites dans différents hôtes (rongeurs, poissons, grenouilles, blattes), en III.
L’étudiant trouve un stage parmi les offres de stage proposées dans le cadre de la formation ou en contactant les équipes de recherche de son choix et fait valider son choix de stage par le responsable de l’UE. Le stage expérimental dure 4 semaines au moins, au cours desquelles l’étudiant réalise une série d’expériences pour répondre à une question scientifique précise et définie. A l’issue du stage, l’étudiant présente ses résultats et leur interprétation sous forme d’un résumé écrit et d’une présentation orale, qui sont évalués par un jury.
Ils sont constitués de cours magistraux et des travaux dirigés en salle ou en salle informatique. Nous développons également un projet de thérapie génique avec des vecteurs AAV pour le déficit en mitofusine (Charcot-Marie Tooth 2). Nous concevons et construisons des plasmides portant des promoteurs spécifiques exprimant le système nerveux central et utilisons toutes les techniques permettant de suivre l’expression des gènes étudiés dans ces modèles animaux. Nous souhaitons insister ici sur l’importance d’utiliser des méthodes précises pour l’analyse des stéroïdes dans des échantillons biologiques, et en particulier dans des matrices complexes telles que les tissus nerveux, riches en graisses.
Les modèles viraux étudiés permettront d’identifier les mécanismes de formation des syncytia et leur rôle dans la propagation des paramyxovirus ainsi que les mécanismes de transcription et d’assemblage des rétrovirus. Les expériences permettant de répondre aux problématiques relatives à l’étude de deux modèles de virus à ARN, seront réalisées individuellement ou en binôme en fonction de l’effectif. En parallèle des expérimentations, les étudiants devront rédiger un rapport de TP à la manière « d’un cahier de laboratoire ».
Pour chacune des thématiques proposées dans l’UE, le fonctionnement des tissus impliqués, puis les contrôles nerveux, hormonaux ou locaux, mis en jeu pour maintenir l’homéostasie du milieu intérieur sont décrits chez l’Homme. Deux cours ont pour objectif d’élargir le champ d’investigation à d’autres espèces animales par une approche de biologie comparative. Pour saisir la globalité de cette UE, il serait préférable que l’étudiant ait des connaissances en Neurobiologie cellulaire et Neuroanatomie qui relèvent d’un niveau de la 3ième année de Licence. -Mémoriser les structures cérébrales, les réseaux de neurones et les principaux neurotransmetteurs impliqués dans l’addiction.
Cette UE aborde des aspects très larges de la biologie allant d’interaction protéique, de signalisation cellulaire, de fonctionnement des neurones jusqu’à la fonction ventilatoire en explorant les interactions entre virus et animal. 10h (7h + 3h) de Travaux pratiques humides en laboratoire
12h de Travaux pratiques en salle machine
2h30 de restitution orale + 30min de QCM individuel. 14h de CM
2h de séminaires de chercheurs invités
9h TD sous forme d’exercices d’application d’études d’association et d’études de liaison génétique
DS sous forme de qcm numérique et évaluation de la participation aux questions lors des séminaires. Cette version en Français de 5 ECTS se déroule sur 15 jours, sous forme de deux “ministages” d’une semaine dans deux laboratoires différents.
L’enjeu du séminaire est un refus non marxien de désarticuler vie économique et vie morale, un refus qui n’exige pas nécessairement que la science économique soit comprise comme une science morale. La
réponse au stress facilite également l’apparition et la progression de
désordres neurologiques. Combinant l’invalidation conditionnelle du gène GR et
des modèles expérimentaux de la maladie de Parkinson, nous avons montré que le
GR de la microglie, en réprimant l’inflammation, protège les neurones à
dopamine (Carrillo de Sauvage et al. 2013 Cell
Death & Diff, Ros-Bernal et al. 2011 PNAS).